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En quelques mots :
L'album :
"Un vrai cadeau musical, tant les arrangements sont raffinés, inventifs et bourrés d’énergie." Francois Cardinali https://chantssongs.wordpress.com/…/12/brassens-au-feminin/…
"Un album envoûtant et poétique." http://www.lelephant-larevue.fr/
"Le Brassens de Pauline coule comme de l'eau de source, s'interroge sur sa misogynie, sur son rapport à la liberté et sur ses rythmes et ses mélodies." https://www.franceculture.fr/emissions/chanson-boum/pauline-dupuy
"Onze chansons traitées comme des bijoux dans des écrins de luxe, décorées comme des psautiers aux enluminures fines d’artistes épris de beauté." Norbert Gabriel https://leblogdudoigtdansloeil.wordpress.com/2016/12/25/contrebrassens/
"Pauline Dupuy est depuis devenue, malgré le nombre de postulants, l’une des plus grands interprètes de Brassens. Tant que c’en est simplement bouleversant." Michel Kimper http://www.nosenchanteurs.eu/…/09/contrebrassens-tout-con…/…
Le Ep :
"Il est quasiment impossible de « faire l'unanimité » dans le domaine des interprètes brasséniens. Pauline l'a fait. Comme au sortir de son œuf, ce petit joyau va vous donner un cœur tout neuf. Cinq titres, cinq chansons d'amour, cinq chefs-d’œuvre." Jean-Marc Dermesropian, la revue les amis de Georges
L'improbable DUO :
"Ce duo composé de Pauline Dupuy et Michael Wookey vous prend aux tripes. Deux voix magnifiques s’échappent et vous emmènent en voyage. Poésie, humour et élégance s’harmonisent. Rien n’est laissé au hasard, les arrangements de Michael Wookey sont d’une invention folle. Ce musicien complètement loufoque propose un exercice de style artistique jubilatoire. (...)
Deux univers, un seul plaisir, une rencontre bouleversante, des frissons garantis du début à la fin. Les spectateurs du Forum Léo Ferré à Ivry applaudissent à tout rompre." Manu, avril 2017
Le SOLO (Avignon 2015):
Télérama : TTT On aime passionnément
"Seule à la contrebasse, Pauline Dupuy ose l'un des plus jolis répertoires : celui de Brassens. En exploitant toutes les sonorités, y compris cuivrées, de son instrument et en ralentissant le rythme de la plupart des chansons, elle redévoile la profondeur de textes magnifiques et met très en valeur toute leur humanité. La voix est douce, particulièrement mélodique, et en fait une très belle lecture. Brassens par une femme ? Georges en aurait fait une chanson."
Marie-Catherine Mardi.
Rue du théâtre : Contre, tout contre...
"Les chansons de Brassens, une femme et une contrebasse. Un pari audacieux relevé haut la main par une artiste étonnante, qui nous offre un pur moment de bonheur. Entre hommage à Brassens et réappropriation de ses chansons. Rare. Elle n'a ni la voix, ni la guitare de Brassens. Pas la moustache non plus. Mais elle a la prétention de chanter le grand homme, campée derrière sa contrebasse. Pied nu. L'oeil facétieux. Elle a la prétention de chanter Brassens... et elle le fait comme personne. Comme elle seule pouvait sans doute le faire. Avec talent et fraicheur. Avec respect et malice. Avec féminité. Et la surprise est magistrale.
D'une voix profonde et claire, elle ouvre un coin de parapluie. Sa contrebasse rythme les gouttes qui tombent sur le bitume. Et de leur douceur commune, nait la magie de l'instant. Les plus réfractaires aux reprises se laissent envoûter par cet univers que Pauline Dupuy dessine, d'une esquisse vocale ô combien maitrisée !
Et de cordes pincées en cordes frottées, elle nous chante l'amour. Sur les mots de Brassens, les airs de Brassens. Mais l'âme de Pauline. Et elle accomplit le tour de force de faire, tout à la fois, revivre Brassens et le faire oublier. Elle s'approprie ses textes avec humilité, les habille de sa voix, superbe. Les accompagne de sa contrebasse, ajoutant ça et là quelques dissonnances, quelques changements de rythme. Et tout semble évident. Simplement à sa place.
Incroyable tour de force que ce tour de chant là. L'air de rien. A peine souligné d'un rayon lumineux, d'une parole, mutine ou amusée. D'un regard amoureux pour son bel instrument. Pauline Dupuy ajoute un supplément de musicalité aux chansons. Sans jamais nuire à leur essence. Difficile à croire ? C'est certain. Alors un seul conseil : allez voir..."
Par Karine PROST Avignon Publié le 24 juillet 2015
- Contrebrassens ? On est pour ! Le Canard Enchaîné
- Régénérant en diable (...). Nouveau dans le genre, fragile, émouvant, costaud. Libération Jazz
- "Puissant et inspiré" le Parisien
- Une espièglerie en résonance avec la tendre insolence de Brassens. L'Humanité
- Le Brassens de Pauline coule comme de l'eau de source. France Culture
- Brassens par une femme ? Georges en aurait fait une chanson. TTT Télérama
- Un spectacle subtil, élégant et cocasse. Une pépite musicale. Le Figaro
- Un pari audacieux relevé haut la main par une artiste étonnante. Rue du Théâtre
L'album :
"Un vrai cadeau musical, tant les arrangements sont raffinés, inventifs et bourrés d’énergie." Francois Cardinali https://chantssongs.wordpress.com/…/12/brassens-au-feminin/…
"Un album envoûtant et poétique." http://www.lelephant-larevue.fr/
"Le Brassens de Pauline coule comme de l'eau de source, s'interroge sur sa misogynie, sur son rapport à la liberté et sur ses rythmes et ses mélodies." https://www.franceculture.fr/emissions/chanson-boum/pauline-dupuy
"Onze chansons traitées comme des bijoux dans des écrins de luxe, décorées comme des psautiers aux enluminures fines d’artistes épris de beauté." Norbert Gabriel https://leblogdudoigtdansloeil.wordpress.com/2016/12/25/contrebrassens/
"Pauline Dupuy est depuis devenue, malgré le nombre de postulants, l’une des plus grands interprètes de Brassens. Tant que c’en est simplement bouleversant." Michel Kimper http://www.nosenchanteurs.eu/…/09/contrebrassens-tout-con…/…
Le Ep :
"Il est quasiment impossible de « faire l'unanimité » dans le domaine des interprètes brasséniens. Pauline l'a fait. Comme au sortir de son œuf, ce petit joyau va vous donner un cœur tout neuf. Cinq titres, cinq chansons d'amour, cinq chefs-d’œuvre." Jean-Marc Dermesropian, la revue les amis de Georges
L'improbable DUO :
"Ce duo composé de Pauline Dupuy et Michael Wookey vous prend aux tripes. Deux voix magnifiques s’échappent et vous emmènent en voyage. Poésie, humour et élégance s’harmonisent. Rien n’est laissé au hasard, les arrangements de Michael Wookey sont d’une invention folle. Ce musicien complètement loufoque propose un exercice de style artistique jubilatoire. (...)
Deux univers, un seul plaisir, une rencontre bouleversante, des frissons garantis du début à la fin. Les spectateurs du Forum Léo Ferré à Ivry applaudissent à tout rompre." Manu, avril 2017
Le SOLO (Avignon 2015):
Télérama : TTT On aime passionnément
"Seule à la contrebasse, Pauline Dupuy ose l'un des plus jolis répertoires : celui de Brassens. En exploitant toutes les sonorités, y compris cuivrées, de son instrument et en ralentissant le rythme de la plupart des chansons, elle redévoile la profondeur de textes magnifiques et met très en valeur toute leur humanité. La voix est douce, particulièrement mélodique, et en fait une très belle lecture. Brassens par une femme ? Georges en aurait fait une chanson."
Marie-Catherine Mardi.
Rue du théâtre : Contre, tout contre...
"Les chansons de Brassens, une femme et une contrebasse. Un pari audacieux relevé haut la main par une artiste étonnante, qui nous offre un pur moment de bonheur. Entre hommage à Brassens et réappropriation de ses chansons. Rare. Elle n'a ni la voix, ni la guitare de Brassens. Pas la moustache non plus. Mais elle a la prétention de chanter le grand homme, campée derrière sa contrebasse. Pied nu. L'oeil facétieux. Elle a la prétention de chanter Brassens... et elle le fait comme personne. Comme elle seule pouvait sans doute le faire. Avec talent et fraicheur. Avec respect et malice. Avec féminité. Et la surprise est magistrale.
D'une voix profonde et claire, elle ouvre un coin de parapluie. Sa contrebasse rythme les gouttes qui tombent sur le bitume. Et de leur douceur commune, nait la magie de l'instant. Les plus réfractaires aux reprises se laissent envoûter par cet univers que Pauline Dupuy dessine, d'une esquisse vocale ô combien maitrisée !
Et de cordes pincées en cordes frottées, elle nous chante l'amour. Sur les mots de Brassens, les airs de Brassens. Mais l'âme de Pauline. Et elle accomplit le tour de force de faire, tout à la fois, revivre Brassens et le faire oublier. Elle s'approprie ses textes avec humilité, les habille de sa voix, superbe. Les accompagne de sa contrebasse, ajoutant ça et là quelques dissonnances, quelques changements de rythme. Et tout semble évident. Simplement à sa place.
Incroyable tour de force que ce tour de chant là. L'air de rien. A peine souligné d'un rayon lumineux, d'une parole, mutine ou amusée. D'un regard amoureux pour son bel instrument. Pauline Dupuy ajoute un supplément de musicalité aux chansons. Sans jamais nuire à leur essence. Difficile à croire ? C'est certain. Alors un seul conseil : allez voir..."
Par Karine PROST Avignon Publié le 24 juillet 2015
Interview / Portrait :
Interview/Portrait Hexagone, Michel Gallas : Découverte à Avignon
Interviey/Portrait/Vidéos et Photos, Froggy's delight : Pauline Dupuy et Michael Wookey
Interview/Portrait Le Petit Journal de Berlin, Sarah Diep : L'union sacrée de Georges Brassens et d'une contrebasse
Interview France 3 région le 30 mars 2015, reportage pendant les balances à 0'51 sur la vidéo.
Interviey/Portrait/Vidéos et Photos, Froggy's delight : Pauline Dupuy et Michael Wookey
Interview/Portrait Le Petit Journal de Berlin, Sarah Diep : L'union sacrée de Georges Brassens et d'une contrebasse
Interview France 3 région le 30 mars 2015, reportage pendant les balances à 0'51 sur la vidéo.
Radios :
France Culture : Chanson Boum
France Info : L'invité culture de Bernard Thomasson
RCF : l'album de la semaine
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RCF : l'album de la semaine